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Ce que nous apprennent 3000 cerveaux

Suicide, maltraitance pendant l’enfance, dépression et anti-dépresseurs… Un dossier passionnant du Devoir sur les recherches qui utilisent la Banque de cerveaux.
±ĘłÜ˛ú±ôľ±Ă©: 10 June 2015

Quelles traces gardent nos cerveaux de la maltraitance pendant l’enfance ou de la dépression? Qu'est-ce que 3000 cerveaux peuvent enseigner aux experts de la neurologie et de la santé mentale?

Un dossier de Pauline Gravel dans Le Devoir dĂ©taille les rĂ©sultats de recherches qui utilisent la , notamment celles du Groupe 69ČČĘÓƵ d’études sur le suicide.

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« Dépression: de nouveaux suspects au banc des accusés

L’étude de cerveaux a révélé des anomalies que l’on ne soupçonnait pas.

On a longtemps attribué la dépression à un déficit en sérotonine dans le cerveau, ou du moins à un dysfonctionnement des neurones utilisant ce neurotransmetteur pour communiquer entre eux. L’étude de cerveaux de personnes déprimées qui se sont suicidées a permis de découvrir d’autres anomalies cérébrales que l’on ne soupçonnait pas et qui ont donné naissance à de nouvelles hypothèses, (...). » .

« Les effets de la maltraitance en bas âge

Grâce Ă  la banque de cerveaux, Gustavo Turecki et ses collègues du Groupe 69ČČĘÓƵ d’études sur le suicide ont dĂ©couvert que la maltraitance durant l’enfance a un impact permanent sur le fonctionnement du cerveau et que des gens qui ont Ă©tĂ© maltraitĂ©s au dĂ©but de leur vie prĂ©sentent un risque plus Ă©levĂ© de se suicider. » .

« Comment prédire l’efficacité des antidépresseurs?

Pourquoi certaines personnes déprimées bénéficient-elles d’un traitement aux antidépresseurs classiques, alors que d’autres y demeurent insensibles ? Cette question taraude les cliniciens depuis belle lurette. Or, l’année dernière, l’équipe de Gustavo Turecki mettait en lumière un micro-ARN qui pourrait bien s’avérer un bon prédicateur de la réponse au traitement antidépresseur. »

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