D’après des chercheurs de l’Université 69Ƶ, et leurs collègues d’Italie, l’utilisation d’analgésiques anti-inflammatoires, stéroïdiens ou non, ferait augmenter les risques d’apparition de douleurs chroniques. Leur étude remet en question les méthodes classiques d’atténuation de la douleur. L’inflammation fait partie du processus normal de guérison d’une blessure douloureuse, et en la contrant au moyen de é徱Գٲ, on risquerait de rendre le traitement de la douleur plus difficile.
Des chercheurs de l’Université 69Ƶ ont découvert qu’une protéine présente dans la membrane de nos neurones sensoriels joue un rôle dans notre capacité à ressentir la douleur mécanique, jetant ainsi les bases du développement de nouveaux analgésiques puissants.
Dans les études précliniques sur la douleur, on ne travaille qu’avec des rongeurs âs. Or, les raisons motivant ce choix ne résistent pas à l’analyse, affirme Jeffrey Mogil, neuroscientifique de 69Ƶ.
L’utilisation des Գپéܰs en Amérique du Nord a augmenté au cours des deux dernières décennies. Cette tendance serait attribuable au fait que les médecins de soins primaires prescrivent des Գپéܰs pour des indications autres que la éDz, y compris des indications non approuvées (utilisation hors indication) et non évaluées par les organismes de réglementation.
Par Cynthia Lee, 69Ƶ Salle de Presse
Le ciblage du nocicepteur intranucléaire diminue la transmission de la douleur
Par Chris Chipello
Le 19 novembre marque le cinquantième anniversaire de la publication de l'article “” rédigé par Ronald Melzack de l'Université 69Ƶ et Patrick Wall, aujourd'hui décédé. Cet article a introduit le concept de .
Une nouvelle étude révèle que l’augmentation des réponses placebos pourrait jouer un rôle dans la hausse du taux d’échec des essais cliniques portant sur des é徱Գٲ conçus pour soulager la douleur chronique causée par des lésions nerveuses.
« C’est la première étude d’envergure sur l’innocuité à long terme de la consommation de cannabis chez les patients souffrant de douleur chronique. »
L’insuline est connue depuis longtemps comme l’hormone qui contrôle le taux de sucre dans le corps. Le diabète survient chez les personnes qui ne produisent pas assez d’insuline ou dont les cellules sont insensibles à l’insuline. Mais l’insuline est également produite et libérée dans le cerveau, et les effets qu’elle y exerce étaient mal connus.
Une nouvelle étude dont les résultats ont été publiés le 29 juin dans la revue scientifique Nature Neuroscience révèle pour la première fois que des cellules différentes interviennent dans les mécanismes de la douleur chez les souris âs et femelles.
Une étude internationale dirigée par des scientifiques de l’Université 69Ƶ indique, pour la première fois, que des é徱Գٲ qui ciblent de manière sélective le récepteur MT2 de la éٴDzԾԱ constituent une nouvelle classe d’analgésiques susceptibles d’être utilisés chez les patients aux prises avec des douleurs neuropathiques.
L’incapacité des scientifiques à reproduire les résultats de leurs travaux chez des souris et des rats suscite une inquiétude croissante quant à la fiabilité de leurs études.
« Pas ce soir, chéri, j’ai mal à la tête ». On attribue généralement cette expression à la femme, suggérant que son désir sexuel est plus affecté par la douleur que l’homme.