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Une passion pour la recherche et ses rĂ©percussions : Ella Boone et le programme AccĂ©lĂ©rateur de recherche biomĂ©dicale de 69ČČĘÓƵ

Cette Ă©tudiante en biochimie de l’UniversitĂ© McMaster fait partie des 17 étudiants et Ă©tudiantes de premier cycle ayant perfectionnĂ© leurs aptitudes en recherche Ă  l’École des sciences biomĂ©dicales de 69ČČĘÓƵ l’étĂ© dernier.

Le programme subventionnĂ© de 15 semaines AccĂ©lĂ©rateur de recherche biomĂ©dicale (ARBM) de 69ČČĘÓƵ permet Ă  des Ă©tudiants et Ă©tudiantes de premier cycle de travailler avec les scientifiques de renommĂ©e internationale de l’École des sciences biomĂ©dicales (ÉSBM), de l’Institut Lady Davis de recherche mĂ©dicale (ILD), de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santĂ© 69ČČĘÓƵ (IR-CUSM) ou d’un autre centre de recherche affiliĂ©, tout en prenant de l’expĂ©rience de travail dans un laboratoire professionnel. Cet Ă©tĂ©, 17 étudiants et Ă©tudiantes de partout au Canada ont participĂ© au programme.Ěý

Nous avons discutĂ© avec Ella Boone, Ă©tudiante en biochimie Ă  l’UniversitĂ© McMaster et membre de la cohorte 2023 du programme ARBM, qui nous a dĂ©crit son expĂ©rience.Ěý

Ella, qui s’apprĂŞte Ă  entamer sa dernière annĂ©e de baccalaurĂ©at Ă  l’automne 2023, a toujours rĂŞvĂ© d’être mĂ©decin. Maintenant qu’elle s’est dĂ©couvert une passion pour la recherche, son rĂŞve s’est prĂ©cisé : elle veut maintenant devenir mĂ©decin-chercheuse.Ěý

« Je suis captivĂ©e par la recherche et l’ampleur des rĂ©percussions qu’on peut avoir, dans n’importe quelle discipline de recherche. C’est une autre façon d’aider les gens du monde entier, de sauver des vies ou de les amĂ©liorer, explique-t-elle. Je veux travailler aux premières lignes, auprès des patients, mais je veux aussi travailler en coulisses, pour mettre au point des traitements et des outils diagnostiques. »Ěý

Le ±č°ů´Ç˛µ°ů˛ąłľłľ±đ A¸éµţ˛Ń a offert Ă  Ella la possibilitĂ© de prendre de l’expĂ©rience en recherche avant de soumettre sa candidature Ă  un programme double M.D.-Ph. D.Ěý

« Je voulais vraiment prendre part Ă  un projet de recherche cet Ă©tĂ©, apprendre Ă  travailler dans un laboratoire de simulation et un laboratoire de travaux pratiques, faire partie d’une Ă©quipe et connaĂ®tre l’atmosphère qui règne dans les milieux de recherche. Tous les projets du ±č°ů´Ç˛µ°ů˛ąłľłľ±đ A¸éµţ˛Ń Ă©taient intĂ©ressants, et l’idĂ©e qu’il soit conçu pour confirmer notre intĂ©rĂŞt pour les Ă©tudes supĂ©rieures me plaisait », se souvient-elle.Ěý

Leigh Dickson, M. Sc., M. Éd., est administratrice Ă  l’ÉSBM et une contributrice majeure Ă  l’élaboration du programme.Ěý

« C’est un programme qui attire Ă  69ČČĘÓƵ des Ă©tudiants et Ă©tudiantes exceptionnels et leur permet d’acquĂ©rir une expĂ©rience pratique en laboratoire. Après leur admission aux cycles supĂ©rieurs, ils seront en excellente position pour leurs demandes de bourse et en bonne voie pour la rĂ©ussite. »Ěý

ConcrĂ©tisation de la rechercheĚý

Le projet de recherche d’Ella se concentre sur l’utilisation de nanoparticules dans le traitement de la fibrose kystique. Puisque son expĂ©rience antĂ©rieure l’avait principalement exposĂ©e Ă  des techniques chimiques, elle Ă©tait heureuse d’explorer la recherche en biologie, ce qu’elle a pu faire avec ses superviseurs John Hanrahan, Ph. D., professeur au DĂ©partement de physiologie et Ashok Kakkar, Ph. D., professeur au DĂ©partement de chimie.Ěý

« En commençant le programme, j’ai eu la chance de passer un peu de temps au laboratoire de chimie, oĂą j’ai pu fabriquer des nanoparticules. J’ai ensuite pu procĂ©der Ă  des essais biologiques en lien avec le projet et ces nanoparticules. C’était vraiment intĂ©ressant de travailler dans les deux types de laboratoire et d’observer la collaboration entre les dĂ©partements. J’ai beaucoup aimĂ© ĂŞtre immergĂ©e dans cet environnement », explique Ella.Ěý

« Je n’avais pas encore eu l’occasion de tester des produits thĂ©rapeutiques ľ±˛Ô vľ±łŮ°ů´Ç ou ľ±˛Ô vľ±±ą´Ç, mais j’ai pu le faire Ă  69ČČĘÓƵ. J’ai aussi vu comment se passent ces tests en contexte rĂ©el plutĂ´t que lire Ă  leur sujet dans les manuels. J’ai vu les tests en action, dans le cadre d’un projet concret, et c’était fascinant », ajoute-t-elle.Ěý

Ella a Ă©galement profitĂ© de l’accueil chaleureux de ses collègues en laboratoire et bon nombre l’ont invitĂ©e Ă  observer leur travail sur d’autres projets.Ěý

Tous les mercredis, Ella et les autres membres du programme se sont rĂ©unis pour dĂ©jeuner durant les prĂ©sentations hebdomadaires des responsables de projet et des Ă©tudiants et Ă©tudiantes aux cycles supĂ©rieurs. Ces sĂ©minaires ont permis Ă  Ella et Ă  ses camarades de dĂ©couvrir de nouvelles techniques et notions en plus de rencontrer d’autres personnes ayant des ambitions similaires aux leurs.Ěý

« À la maison, on se retrouve parfois dans notre petite bulle. C’était une belle occasion de connecter avec des gens qui nous ressemblent, qui ont les mĂŞmes buts, les mĂŞmes motivations, et qui proviennent de l’autre bout du pays, oĂą mĂŞme de l’autre bout du monde », dit-elle.Ěý

Mme Dickson ajoute : « C’était extraordinaire d’avoir le soutien des membres de la communautĂ© de l’ÉSBM qui ont donnĂ© des prĂ©sentations pendant le ±č°ů´Ç˛µ°ů˛ąłľłľ±đ A¸éµţ˛Ń. Je suis reconnaissante aux scientifiques, aux Ă©tudiants et Ă©tudiantes des cycles supĂ©rieurs et aux autres membres de notre communautĂ© qui ont contribuĂ© au programme. »

Trajectoire futureĚý

Alors qu’elle s’apprĂŞte Ă  rentrer Ă  l’UniversitĂ© McMaster, Ella soutient que le programme ARBM l’a convaincue que la prochaine Ă©tape, pour elle, Ă©tait la poursuite d’un programme double M.D.-Ph. D. L’UniversitĂ© 69ČČĘÓƵ fait d’ailleurs partie de ses premiers choix.Ěý

« J’ai beaucoup aimĂ© observer la recherche dans un nouvel environnement et constater que c’est pareil partout. L’expĂ©rience est la mĂŞme, la passion est toujours prĂ©sente, et on trouve partout des personnes qui partagent notre enthousiasme. »Ěý

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